Suite de "La création des hommes par les dieux fatigués"
La révolte
Les Igigu présentent leurs doléances
" Ton palais est cerné, monseigneur !
Le combat s'est propagé jusqu'à ta porte !
Ton palais est cerné, Ô Enlil !
Le combat s'est propagé jusqu'à ta porte !
Enlil fit amener des armes chez lui,
Puis il ouvrit la bouche
Et s'adressa à Nuska, son page:
" Nuska ! Barricade ta porte !
Prends tes armes et mets-toi à mes ordres !"
Enlil est irrité, il se prépare au combat.
Il ordonne de tout barricader.